J'ai tenu ma promesse.
J'ai tenu ma promesse.
Ce blog va finir par ressembler à une pub pour Jardiland !
Le printemps aidant, ma mièvrerie n'a plus de limites.
Et je coucherais dans le jardin si les moustiques...
Une série de marque-page-poème ?
Désolée pour l'excessive saturation des couleurs de l'image ci-dessus
mais quand on passe des fichiers en CMJN pour les imprimeurs
au RVB des blogs, c'est un festival smarties.
Demain, c'est promis, je vous repose les pupilles. Bleu ciel, ça ira ?
Méfiez-vous cependant, je n'ai jamais tenu la moindre promesse
sur ce blog. Retournez en arrière, vous verrez !
Comme chaque année,
la ville de Montluçon imprime nos marque-page
pour les distribuer à la médiathèque Boris Vian
et annoncer la lecture qui y aura lieu.
Je ne les ai pas encore vus en chair et en papier
mais il paraît qu'ils sont déjà "en rayon".
Une piqûre de rappel avec le recto des marque-page :
Du nouveau encore du nouveau pour cette année :
des cartes-postales-poème.
L'occasion d'une petite rétrospective sur
la collection pOètes au pOtager
publiée par les éditions Contre-allées
depuis le début du festival.
Je ne vous en montre pas davantage, c'est une surprise.
Réservée aux festivaliers, cela va de soi.
Un petit cadeau pour ceux qui auront la curiosité de venir aux lectures.
De la couleur, cela va de soi itou.
(surtout après une affiche furieusement austère et sobre !).
et "du kitsch" parce que ce sont des cartes postales,
tout simplement !
dans le dictionnaire poésie est entre
poêle à frire et pognon
qui a dit que les poètes avaient la tête
dans les nuages
Albane Gellé, L'air libre, le dé bleu, 2002
Le festival pOètes au pOtager vit grâce au bénévolat des organisateurs et des poètes. Malgré tout, la poésie ne vit pas que d'amour et d'eau fraîche et il nous faut remercier chaleureusement le Conseil régional d'Auvergne et la DRAC Auvergne qui nous allouent respectivement une subvention de 1300 et 1250 euros.
Avant qu'elles ne papillonnent sur les murs de la médiathèque,
les affiches-poèmes.
Pour annoncer en vous prenant par les sentiments
la lecture "de 6 à 106 ans" à la médiathèque Boris Vian.
Ca s'appelle du teasing, non ?
Question marketing, à pOètes au pOtager, nous sommes des pros.
En revanche, je ne sais pas comment mettre une cédille
au C majuscule sur overblog. Ca fait tout de suite moins pro...
Et puis mince, j'ai mis deux fois la même sur ce montage.
Tant pis, vous n'avez qu'à aller à la médiathèque Boris Vian de Montluçon pour voir les vraies affiches.
En fait, je déteste les blogs : je n'aime pas le déroulement chronologique.
Du coup, un petit retour en arrière s'impose : le rappel du programme 2012.
Un nouveau temps du festival :
une lecture de 6 à 106 ans, "pour les petits aussi".
Mais soyons clairs, pour les grands aussi !
Même non accompagnés de marmots, de moufflets...
Pas besoin, comme pour le dernier Walt Disney,
d'être flanqué d'un petit pour oser venir...
Cette lecture s'adresse à tous, sans distinction d'âge.
Car comme chacun sait, la poésie n'a pas d'âge.
Avant-première :
ils ne sont pas encore parus, même pas encore sous presse.
Ils attendent au chaud dans l'ordinateur de Romain Fustier
mais vous les trouverez bientôt dans toutes les bonnes librairies
(CQFD : au Talon d'Achille à Montluçon !).
Voici les nouveaux livrets de la collection pOètes au pOtager édités par Contre-allées.
Un aperçu du recueil de Ludovic Degroote,
Les Marronniers
publié par les éditions Contre-allées à l'occasion du festival.
Déjà Roger Lahu, il y a deux ans, nous avait avoué avoir abandonné
le p'tit bic, la plume Mont Blanc ou le crayon de papier taillé à l'opinel
au profit d'un PC équipé de Word et Photoshop.
Les plus jeunes ne sont pas les moins nostalgiques.
Et si vous lisiez la 2e page du recueil de Christiane Veschambre,
Chaque pas du temps ?
se faire passereau
sept grammes pour toute une vie
combien les minuscules poumons?
dans ma poitrine une enclume
prend ses quartiers
d'hiver
que les éditions Contre-allées publient à l'occasion du festival 2012.
Comparez le manuscrit et la version définitive...
Et méditez le passage de l'imparfait au présent.
L'imparfait aura disparu de la couverture définitive :
c'est un souhait de l'auteur que nous respectons pieusement.
Quelques miettes du livret d'Albane Gellé :
festival de poésie contemporaine
à Montluçon
le dernier week-end de juin
Les poètes invités lisent leurs textes en public
(et à ciel ouvert si le temps le permet).